role oublié

Ce soir la l'ambiance était morose a la taverne du soleil brisé. Même ceux qui d'habitude n'hésitait pas a appuyer leurs bruyants discours a grand coup de poing généreux, histoire de réchauffé l'ambiance, savourait leurs pintes en silence. Quelques ivrognes ronflé sur les bans , la fumée acre des pipes drapé le plafond de nappe éparse, la lumière même semblait s'être retiré.

Dans le fond de la salle un vieux troll siroté la bière local a même un seau.
Un grand souffle d'air vain balayer la pièce. Devant la marée de murmure de protestation qui se levait le nouvel arrivant se dépêchât de refermer la porte. Au vu de la face couverte de cicatrices du nouveau venu la rumeur décrut, les dormeur se retinrent même de ronfler quelques instants. La lame de sa hache été usée mais les arbres n'avait pas du beaucoup en souffrir.

Le tauren s'assit en face du troll. Une lutte épique s'engagait entre la bancelle et la masse du géant qui plus est était couvert de son armure de bataille qui visiblement ne le quittait jamais. Bien que bataille semble perdu d'avance la bancelle tin bon et non sans quelques grincements et craquements de protestation elle ne cassat pas.
"-Alors comment va mon bon amis Aërolis" salua le troll qui ,marque d'un profond respect de sa part, avait même arrêté de boire le temps de parler.
"-Quelques vielles blessures qui me fond mal , mais laisse donc , la guerre laisse aussi des traces que ta magie ne saurait guérir Toubïb. Je me sent vieux et contre sa même toi tu ne peut rien.
Après que le tavernier l'ai servis la langue du tauren semblât se délier.
-Ce soir mon amis je vais te confier un bien qui m'est precieux, a l'heure ou le froid commence a envahir mes veines , je te confie ceci: c'est un rôle, Le rôle de la IV légion de volontaire d'azérot, nombre des noms qui sont dans ce registre sont mort depuis longtemps, a vrai dire je pense même être le dernier.
Je vais aussi te raconter comment j'en ai eu la garde, c'est une vielle et longue histoire.
C'était au temps ou le portail pour l'outre terre n'avait pas encore été réouvert, un temps ou les mages de bataille n'avait pas encore mit au point les portaille qui permette de ce battre avec des gents des autres univers, comme si notre monde ou plutot celui la , car voit tu j'ai été victime de la mise au point de ses trucs, je ne suis pas né ici , mais bon qu'importe puisque tous les miens sont mort je suis ma tribut et comme je suis ici ma tribut et avec moi. Toi qui parle aux esprits tu doit comprendre sa, enfin passons. Ou en était je?
A oui, a cette époque donc il n'était pas question de renfort tactique et autres subtilités ou je ne comprend rien. La bataille pour altérac ne s'arrêtait que par la mort du général ennemi. Ces chiens de nain local étaient solides , c'est plus comme maintenant, a force d'avoir été récussité et recousu de partout ils ont plus de forces.
Donc la bataille durait donc depuis le vendredi soir et nous étions le dimanche soir, tout y été passé, la cavalerie , la notre et la leur, les espris géants invoqué avec des litres et des litres de sang adverses, bref la vallé brullé depuis deux nuits au son de lourd combat.
Le moral été chez nous au plus bas, a défaut de bravoure l'armé de l'aliance des nains , elfes gomes et humains avait le nombre....

Tout semblait perdu et pourtant...
Ce jour la j'ai pris la parole, et j'ai proposé un plan . A nos braves émoussé par cette longue bataille je leurs est promis une victoire possible.
Le plan été simple mais couillu: laissé avancer l'ennemis jusqu'au coeur de notre forteresse en ce cachant dans la grotte puis avancé jusqu'a chez lui et prendre le poste de soin situer dans sa ville qui serait alors dépourvu de défensseurs.
En effet a force de piétiné et de mourir sur leurs pont la neige en dessous été gorgé de sang.
Nos braves qui voulait en finir ont aprouvé et voila comment j'ai conduit une charge, depuis la grotte jusqu'au repaire de nos ennemis.
Voir tous ses fierts guerriers chevaucher ensemble donnait chaud au coeur et froid dans le dos en même temps.
Ce fut une chevauché fantastique.
Quelques trainards qui n'avait rien compris reprirent tous les cimetieres d'en bas jusqu'en haut de la carte .Certain membres de l'aliance sentant le vent tourné prirent leurs courage a deux mains et leurs jambes a leurs coup, chez eux aussi la bataille avait été longue et il se faisait tard.
La fuite de quelque un fit boule de neige et c'est sans réelle oposition que nous avont tuer le général nain.
Notre victoire fut saluer dans orgrimar, faut dire que les bagares pour la vallée été pas fréquante et en général n'avait lieu que le week end de plus celle la avait duré longtemps.
C'était il y a longtent , si longtent, mes vieux compagnons me manque, il y avait Sirus le voleur, Mù..... Nilrem aussi, Uro qui c'est retirer dans les montagnes , dame Nidi , Skunq, fred...sealia, Mr lehouille ,miss tralalala...
La liste est longue, trop........

Tiber s'avance vers ses deux camarades et s'installe à la table après avoir commandé 3 bières :


Je n'ai put m'empêcher d'entendre ce que tu narrais Aerolis. Quelle nostalgie... Voilà bien une bataille comme j'aimais en faire, qui n'a plus rien à voir avec celles désormais en vigueur dans tous les champs de batailles, d'Alterac à Arathi en passant par le Joug ou autres. Avant, être un druide voulait dire quelque chose, désormais je me ballade comme si tous les monstres divers et variés étaient devenu aussi fragile que de l'herbe soufflé par un vent de tempête.

Les joueurs ont perdu leur esprit combattif au fur et à mesure que le temps passait et que les changements inévitables s'enchainaient. Et c'est bien dommage. Moi qui prenais un grand plaisir à tuer les allys, à récolter leurs sang et leurs armures pour nos guerriers ; tendre des embuscades avec quelques amis voleurs et druides ; monter une violente attaque ou contre-attaque, ...

Quant à ceux que tu as cité, je les ai bien connu : Nilrem le mago, Uro, notre bonne chasseresse Sealia, Lehouille le tireur amis des bêtes, Thalara la voleuse qui avait toujours besoin d'aide pour une quête et que je revois encore parfois, Skunq mon frère druide, et bien d'autres tel que mes grands amis Valanos et Valanas, mari et femme et inséparables.

Que de souvenirs ont peut avoir du passé épique que l'on a connus. Les petits jeunes et nouveaux combattants de la Horde ne savent pas tous ce qu'ils ont put manquer et qu'ils ne reverront jamais, à moins d'un miracle...


Tiber savoure sa bière, les pensées s'envolant dans les profondeurs abyssales de la déprime et du déboût de la modernité.

Tiber prit une gorgée de de sa bière puis répondit à sa future épouse :


Notre état ne provient pas d'une défaite contre les allys ou contre tout enne mis physique, car ce genre de défaite est supportable et peut être vengée.

Non, notre défaite est contre la progression inévitable du temps, les lents mas inéluctables changements d'Azeroth. Ce monde que tu n'as pas connu à ses début ma chère et tendre a été pervertit et ses habitants sont devenus faibles, attendant que tout leur tombe dans les mains.

Car c'est dans la guerre que l'on grandit, c'est dans l'affrontement que l'on trouve ses faiblesses et celles de ses ennemis. Désormais les gens ne sont plus intéressés que par obtenir les meilleures objets le plus facilement. Avant au moins, les guerriers des temps anciens avaient du mérite quand il obtenait une victoire ou une arme rare. Désormais...

Alors oui, nous déprimons en repensant au passé et cela ne s'arrêtera pas de si tôt...


Tiber retourne dans ses pensées, laissant Albionne méditée sur ces paroles.