Vous autres écoutez bien l’histoire que je vais vous compter.
C’est l’histoire d’Hawallé petite troll de 15 printemps qui se mis en tête de quitter sa jungle natale pour aller à Ogrimar.
Elle mis sa plus belle parure et sur de sa beauté s’en est allée. La robe qui l’habille été toute de perles brodées et la ceinture d’or qui la serre faisait bien vingt tours. Les buissons sur sa route se couvrait de fleurs et les arbres écartaient leurs branches. Elle en été convaincue, aux fêtes du solstice d’hivers on la sacrerait reine des festivités. A la lisière de la foret elle se reposa à l’abri d’un grand arbre d’où les esprits faisaient jaillir de sont tronc une source dorée. Claire et pure été l’eau et entre les racines un bassin se formait. Dans l’eau calmes elle vain admirer sont reflet. Mais le charme de l’endroit aussi puissant soit il ne saurait retenir l’effrontée, car dans le lointain les tambours battaient.
Soudain dans un grondement apparurent trois guerriers, trois cavaliers.
Le premier qui lui fait face, monter sur un kodo de guerre tout harnaché, et un tauren tous de fer habillé. La lumière glisse sur sont armure lustrée et de ses cornes polies des rayons ambrés fusent en éclairant sa puissante silhouette.
Qui est tu lui dit Hawallé.
-Je suis Corban, ton chevalier servant, au fête de l’hivers je m’en vais te mener.
La petite troll par jeu éclabousse Corban . De l’eau jaillit alors de grandes fumées et la chose dans la fontaine est aspirer. L’eau révèle un démon avant de le faire éclater et en cendre retomber. Le bassin en est souillé.
Le second des cavaliers alors c’est avancé. Son armure et fait de nacre et son plastron est de coquillage taillé. Ses longs cheveux blancs comme l’écume flottent aux vents. C’est un loup massif qui sert de monture a l’orc musclé dont le vert de sa peau contraste avec le noir de l’animal.
Qui est tu lui dit Hawallé.
-Je suis Gorak le chaman maître des éléments de l’eau , je suis le fils de l’océan et de la vague suis née. Sur la croupe de mon loup au fêtes de l’hivers ensemble nous allons chevaucher.
-De la mer ne née que naja ou que murlok dit la jeunette méfiante et rapidement elle façonne avec la boue grise de cendre du bassin une forme grossière ou elle plante un cheveux blanc apporté par le vent.
-Qui est tu questionne la bleu a la poupée puis elle lui souffle dessus. De la foret jaillit un souffle chaud qui fouette le visage de Gorak. Le vent se fait plus fort puis une tempête se forme et au chaman sont armure lui et arraché. Le vent souffle et souffle encore et arrache la chair pour révéler une forme cotonneuse et grise au grand yeux rouge. L’âme en peine qui se complait dans le noir hurle a la lumière du jours pour être détruite par les rayon du soleil.
C’est au tour du dernier des cavaliers de se montrer. Rouge est sont raptor élancé. Planté dans les étriers de belle bottes impeccablement cirées, assis sur la selle un troll en smoking, une épée dorée et brillante au coté avec une rose entre les dents.
Qui est tu lui dit Hawallé, échaudée par les deux premiers cavaliers.
La réponse du troll est étouffée par la fleur et la jeunette ne comprend rien mais ne détecte nul mensonges. Puis en lui lançant la rose le cavalier déclare :
-Vient avec moi ma belle, ma bien aimé, allons montrer a tous ta beauté. Alors il lui saisie le bras et la hisse sur sa monture puis ensemble ils chevauchent. Le raptor est rapide et fille comme le vent, les paysages défilent, ils passent par milles vallée contemple des bois des forets des pierres dressées. Ils chevauchent trois jours , deux nuits sans s’arrêter. A la troisième nuit Hawallé interroge sont compagnon :
Ce ne doit pas être le chemin, je n’entend plus qu’a peine les tambours battre…
Ce n’est rien lui répond le troll, le vent a dut tourner, il est tard vient sur ma couche dressée , d’herbes sèches et de fougères avec ma cape par dessus, au prêt du feux nous allons nous blotir.
Le lendemain matin ils repartent et mènent grand train. Le paysage défile maintenant si vite que les couleurs semble se fondre et qu’ Hawallé ne distingue plus les formes et se laisse grisé par la vitesse.
Ramène moi proteste Hawallé en fin de journée, je n’entend plus les tambours de la fête.
-Ce n’est rien , le vent a tourné, on verra demain ma bien aimé . Il fait froid, vient contre moi te réchauffer.
Au matin du cinquième jour la troll se réveille tous engourdie allongée sur la pierre froide qui lui blesse les os. Elle se retourne et a la place de son amant découvre un nid de serpent et une épée brisée. Dans le reflet de l’épée elle se regarde et au lieu de sa jeunesse découvre le visage d’une vielle troll a la peau toute fripée. Les serpents déchire ses seins desséchés d’ou sont maigre sang s’écoule ,et la terre le boire, et sa vie s’en aller. Soudain en déchirant sont ventre sort un faucon qui s’envole. Puis dans le fiord il plonge et en épaulard est changé.
Voici donc pourquoi le chant de l’épaulard et triste alors que la bête enragé alors si un jour vous le chassez, par pitié ne le faite pas souffrir, elle en a assé enduré.